On continue avec la bit-lit. Aujourd’hui c’est au tour du premier volume des aventures de Jaz Parks, sous la plume de Jennifer Rardin.
Cette fois la narratrice et héroïne ne semble pas être une créature fantastique, du moins au premier abord. Jaz, Jasmine pour la version formelle, travaille pour la CIA en tant qu’assassin, ni plus ni moins, avec une prédilection pour l’élimination des êtres surnaturels. Et une tendance à semer plus de dégâts que l’ouragan Katrina derrière elle.
Histoire d’essayer de brider un peu la propension à la violence de son agent la plus coûteuse, son supérieur l’assigne comme assistante de Vayl, âgé de presque trois siècle et seul vampire opérant pour la CIA. Ensemble les deux comparses vont tenter de déjouer les plans d’un infâme terroriste tramant un complot d’ampleur planétaire.
On échappe pas en cours de route à de sombres révélations sur le passé des personnages, ainsi que le possible destin hors du commun qui les attend. Je vous fais grâce des détails.
Par moment je commence à avoir la sensation que la bitlit c’est un peu comme le cinéma d’action des années 80 : de l’action, des répliques à l’humour douteux, et finalement pas beaucoup de souvenirs. Un pop corn sans trop de saveur. Pas convaincu que je lirai la suite, même si je risque de tenter le volume deux pour en apprendre un peu plus sur certains évènements dévoilés dans ce premier opus. Mais juste parce que je suis d’une curiosité maladive et fort bon public.
Jaz Parks s’en mord les doigts (Once bitten, twice shy)
de Jennifer Rardin
traduit par Jean-Noël Chatain
illustration de Mark Dye
éditions Milady
442 pages (poche)
de Jennifer Rardin
traduit par Jean-Noël Chatain
illustration de Mark Dye
éditions Milady
442 pages (poche)
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