Brandon Sanderson est un jeune auteur de fantasy qui s’est vu confier la tâche de finir la série La Roue du Temps que Robert Jordan ne put terminer avant de nous quitter en 2007. Le nouveau label du groupe Hachette, Orbit, a commencé l’automne dernier en nous proposant le premier roman de Sanderson intitulé Elantris.
Elantris était une cité merveilleuse dont les habitants étaient capables des plus grandes merveilles Ceux qui étaient touchés par le Shaod intégraient la ville et devenaient pareils à des dieux, capables de prodiges d’un simple geste de la main. Mais un jour le Shaod s’est transformé en malédiction, les élantriens ont perdus leurs pouvoirs et la cité a sombré dans la ruine. Ceux que le Shaod frappe sont maintenant considérés comme morts par leurs proches et enfermés dans les ruines d’Elantris.

J’ignorais totalement de quoi parlait le roman avant de le commencer et je dois avouer que j’ai eu une belle surprise. Si le livre n’est pas exempt de défaut comme par exemple une fin expédiée un peu rapidement ou bien quelques facilités dans le récit, ce qui est bien normal pour un premier roman, il se lit tout de même avec pas mal de plaisir. La plume est agréable et en plus d’un récit qui fait preuve d’un peu d’originalité j’ai trouvé l’univers développé par Sanderson assez intéressant. Son système de magie est véritablement l’un des attraits de l’ouvrage.

En tout cas, Elantris est un roman plutôt sympathique, avec ses faiblesse mais aussi ses atouts qui font que je m’intéresserai certainement bientôt au roman suivant de Sanderson publié en France. Et puis ça ne fait pas partie d’une série, rien que ça le démarque de 90 % de la production de fantasy actuelle.
Elantris (Elantris)
de Brandon Sanderson
traduit par Pierre-Paul Durastanti & Alexandra Maillard
illustration de Alain Brion (grand format) Stephan Martinière (poche)
éditions Orbit
288 & 336 pages (grand format souple) 800 pages (poche)
de Brandon Sanderson
traduit par Pierre-Paul Durastanti & Alexandra Maillard
illustration de Alain Brion (grand format) Stephan Martinière (poche)
éditions Orbit
288 & 336 pages (grand format souple) 800 pages (poche)
Je n’ai lu que le premier tome pour le moment et j’apprécie beaucoup !