Ciel profond, de Patrick Lee

Les deux premiers volumes de la trilogie La brèche de Patrick Lee ont constitué de bonnes lectures. C’est donc sans trop d’inquiétude que j’ai fini par me lancer dans la lecture de Ciel profond, le dernier épisode. Voyons un peu comment l’auteur conclu sa trilogie.

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Le peuple d’argile, de David Brin

J’ai récemment parlé de David Brin suite à la réédition de Terre et remarqué qu’il ne me restait qu’un seul texte de l’auteur en français que je n’avais pas encore lu. J’ai décidé de combler cette lacune et ai donc lu Le peuple d’argile, son avant-dernier roman en date. Voyons un peu de quoi il est question.

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Latium 1, de Romain Lucazeau

De temps en temps, un éditeur essaie de faire un effort de promotion pour un ouvrage auquel il tient en particulier ou qui représente un certain défi à vendre. Et parfois, je peux me laisser tenter par la chose, comme ce fut le cas avec ce premier volume de Latium, premier roman de Romain Lucazeau publié dans la collection Lunes d’encre des éditions Denoël.

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The Annihilation Score, de Charles Stross

Le temps passe et les volumes des Laundry Files se succèdent. Ces dernières années, Charles Stross semble avoir un peu accéléré la cadence et après un Rhesus Chart publié en 2014, l’année dernière a vu la sortie de The Annihilation Score. Ce sixième volume s’annonce comme marquant quelques changements dans la série. Voyons un peu ce qu’il en est.

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The Line of Polity, de Neal Asher

J’ai déjà chroniqué deux fois Neal Asher. Une première fois pour une édition en français avec L’écorcheur et une seconde fois avec Gridlinked, le premier de ses romans inédits dans notre langue. Le passage à la langue de Shakespeare s’étant bien passé, j’ai décidé de continuer dans cette voie avec le deuxième roman de l’auteur, The Line of Polity, toujours dans le même univers que les deux titres précédemment chroniqués.

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L’homme qui mit fin à l’histoire, de Ken Liu

La novella, que certains appellent « court roman » en français, est une forme assez peu utilisée dans l’édition en France (en dehors des œuvres d’Amélie Nothomb). Ce format est plus employé dans le monde anglophone de l’imaginaire et c’est avec un intérêt certain que j’ai vu arriver au début de cette année la collection Une Heure-Lumière aux éditions du Bélial : une collection dédiée aux novellas. Et j’ai décidé de tester cette collection avec L’homme qui mit fin à l’histoire de Ken Liu, l’un des auteurs d’imaginaires qui montent ces dernières années outre-Atlantique.

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Return of the Crimson Guard, de Ian C. Esslemont

En marge du livre malazéen des glorieux défunts de Steven Erikson, j’ai parlé de Night of Knives, « court » roman de Ian C. Esslemont se passant dans le même univers. Et suite à cet ouvrage, l’auteur a signé un accord pour la publication de cinq romans supplémentaires. Mais contrairement au premier qui se plaçait avant le début de la série d’Erikson, ces nouveaux romans s’intercalent en partie dans la série, puis la prolonge. Commençons par Return of the Crimson Guard, dont l’action se situe à peu près entre celle de Reaper’s Gale et de Toll the Hounds.

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La Rose Blanche, de Glen Cook

Après un premier et un deuxième volumes dont la relecture s’était bien passé, il est temps de passé à La Rose Blanche, troisième épisode des annales de la Compagnie Noire. Jusqu’ici, Glen Cook ne m’a pas déçu à la relecture. Voyons un peu comment ce volume se compare à mes souvenirs.

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Une affaire de famille, de Charles Stross

Certains ont peut-être remarqué que je parle régulièrement de la série de la Laverie du britannique Charles Stross. Et si cette série n’a pendant longtemps pas eu de suite en français après la traduction de seulement deux volumes, le projet Exoglyphes a enfin permis de relancer l’affaire. Mais ce n’est pas la seule série de l’auteur à ne connaître qu’une traduction partielle. Les princes marchands compte six romans en anglais, maintenant regroupés en trois volumes, mais seulement quatre ont été traduits chez nous. Cela ne me gêne pas outre mesure et je n’hésiterai pas à poursuivre ma lecture dans une autre langue. Mais voyons d’abord de quoi parle cette série et si son premier volume vaut le détour.

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Terre, de David Brin

Quand j’apprécie un auteur, j’ai tendance à en faire le tour et à lire le plus possible de ses écrits. Mais quand il ne me reste plus grand-chose en stock concernant un auteur qui n’est pas très prolifique, je tends à ralentir la cadence et à attendre avant de me lancer dans l’une de ses dernières œuvres encore inédites pour moi. Ainsi, je garde La sonate hydrogène, dernier volume de la Culture de Iain M. Banks, dans un coin sans jamais arriver à me décider à le lire. L’auteur étant décédé je sais qu’une fois l’ouvrage lu, je n’aurais plus rien d’inédit dans cette série. C’est un peu ce genre de sentiment que je connais vis-à-vis des écrits de David Brin. L’auteur est heureusement toujours de ce monde mais comme il ne me restait que deux ouvrages en français à lire, j’attendais. J’ai fini par franchir le pas pour l’un d’eux, intitulé Terre.

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