The Line of Polity, de Neal Asher

J’ai déjà chroniqué deux fois Neal Asher. Une première fois pour une édition en français avec L’écorcheur et une seconde fois avec Gridlinked, le premier de ses romans inédits dans notre langue. Le passage à la langue de Shakespeare s’étant bien passé, j’ai décidé de continuer dans cette voie avec le deuxième roman de l’auteur, The Line of Polity, toujours dans le même univers que les deux titres précédemment chroniqués.

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L’homme qui mit fin à l’histoire, de Ken Liu

La novella, que certains appellent « court roman » en français, est une forme assez peu utilisée dans l’édition en France (en dehors des œuvres d’Amélie Nothomb). Ce format est plus employé dans le monde anglophone de l’imaginaire et c’est avec un intérêt certain que j’ai vu arriver au début de cette année la collection Une Heure-Lumière aux éditions du Bélial : une collection dédiée aux novellas. Et j’ai décidé de tester cette collection avec L’homme qui mit fin à l’histoire de Ken Liu, l’un des auteurs d’imaginaires qui montent ces dernières années outre-Atlantique.

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Une affaire de famille, de Charles Stross

Certains ont peut-être remarqué que je parle régulièrement de la série de la Laverie du britannique Charles Stross. Et si cette série n’a pendant longtemps pas eu de suite en français après la traduction de seulement deux volumes, le projet Exoglyphes a enfin permis de relancer l’affaire. Mais ce n’est pas la seule série de l’auteur à ne connaître qu’une traduction partielle. Les princes marchands compte six romans en anglais, maintenant regroupés en trois volumes, mais seulement quatre ont été traduits chez nous. Cela ne me gêne pas outre mesure et je n’hésiterai pas à poursuivre ma lecture dans une autre langue. Mais voyons d’abord de quoi parle cette série et si son premier volume vaut le détour.

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Terre, de David Brin

Quand j’apprécie un auteur, j’ai tendance à en faire le tour et à lire le plus possible de ses écrits. Mais quand il ne me reste plus grand-chose en stock concernant un auteur qui n’est pas très prolifique, je tends à ralentir la cadence et à attendre avant de me lancer dans l’une de ses dernières œuvres encore inédites pour moi. Ainsi, je garde La sonate hydrogène, dernier volume de la Culture de Iain M. Banks, dans un coin sans jamais arriver à me décider à le lire. L’auteur étant décédé je sais qu’une fois l’ouvrage lu, je n’aurais plus rien d’inédit dans cette série. C’est un peu ce genre de sentiment que je connais vis-à-vis des écrits de David Brin. L’auteur est heureusement toujours de ce monde mais comme il ne me restait que deux ouvrages en français à lire, j’attendais. J’ai fini par franchir le pas pour l’un d’eux, intitulé Terre.

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Le marteau de Thor, de Stéphane Przybylski

L’année dernière, j’ai causé du premier volume d’une tétralogie publiée par les éditions du Bélial. Écrit par Stéphane Przybylski, Le château des millions d’années est un roman que je n’arrivais pas tout à fait à classer mais dont la lecture m’avait fait plaisir. Le deuxième volume de la série étant sorti l’année dernière aussi, il serait temps que j’en parle un peu.

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La brèche, de Christophe Lambert

L’idée du voyage dans le temps n’est pas récente et les auteurs ont exploité l’idée en long, en large et en travers depuis plus d’un siècle. Christophe Lambert utilise plusieurs fois ce concept, notamment dans le premier des romans qu’il publia dans la défunte collection Rendez-Vous Ailleurs des éditions Fleuve Noir : La brèche. La couverture de Manchu suffisait à elle seule à me vendre l’ouvrage et en dépilant récemment des livres non lus, j’ai décidé de m’occuper enfin de celui-là.

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Red Flag, de Mira Grant

Quelque part sur ce blog se trouvent les chroniques de Feed et Deadline, les deux premiers volumes de la trilogie Newsflesh de Mira Grant. Deux livres que j’avais bien apprécié, il est donc naturel que je finisse par lire le troisième opus, intitulé Red Flag. Ceci a le mérite de permettre de finir une série en cours, toujours appréciable. Voyons donc si Mira Grant termine sa trilogie de façon satisfaite.

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La disparue de l’Enfer, de David Weber

Cela fait un moment que je n’ai pas parlé de la série Honor Harrington, de David Weber. Nous en sommes rendus au huitième épisode, intitulé La disparue de l’Enfer, toujours coupé en deux volumes, une des grandes joies de l’éditions française. Voyons un peu où en est Harrington qui avait fini le précédent opus, Aux mains de l’ennemi, en assez fâcheuse posture.

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Le voyageur, de James Smythe

On tombe parfois sur des ouvrages un peu curieux, que ce soit dans le thème abordé, le ton ou bien l’emballage. Ainsi Le voyageur de James Smythe se promène sous une couverture qui peut évoquer un film à propos de gens perdus dans l’espace. Voyons un peu s’il s’agit vraiment d’un bouquin parlant de naufragé de l’espace.

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L’inspecteur Zhen et la traite des âmes, de Liz Williams

La fantaisie urbaine est généralement l’occasion d’enchanter un peu le réel en y intégrant quelques-uns des éléments clés de la fantasy. Néanmoins, j’ai pour l’instant lu essentiellement des productions d’inspirations occidentales, où un imaginaire principalement européen se mélange avec un milieu urbain nord-américain ou européen. Mais on peut trouver des livres qui proposent d’autres options, comme cela semble le cas de L’inspecteur Zhen et la traite des âmes, de la britannique Liz Williams.

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