Rifteurs, de Peter Watts

Peter Watts est un auteur dont je suis la traduction de l’œuvre avec grand intérêt. Vision aveugle avait certes un côté un peu trop touffu, mais la multitude d’idées que contenait l’ouvrage était impressionnante. Starfish, plus ancien, était plus aéré et surtout bénéficiait d’une ambiance très particulière qui rehaussait l’intérêt du roman. Rifteurs en est la suite directe.

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L’éveil du Léviathan, de James S. A. Corey

Le lancement l’année dernière par Actes Sud d’une collection d’imaginaire a pas mal fait parler à l’époque, notamment grâce à son premier titre, Silo de Hugh Howey. Mais personnellement j’étais surtout intéressé par l’annonce d’une série de space-opera écrite par James S. A. Corey, pseudonyme derrière lequel se cachent deux auteurs. Et après quelques mois d’attente, L’éveil du Léviathan, premier volume de la série The Expanse, est finalement arrivé dans les rayonnages des librairies.

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Ch3val de Troi3, d’Eric Nieudan

La publication de textes directement en numérique permet de remettre au goût du jour les feuilletons, comme j’ai pu en parler avec Jésus contre Hitler ou bien le Rêve Oméga. Mais c’est aussi l’occasion d’essayer de placer plus facilement des récits de type novella. Appelé aussi chez nous ‘court roman’, ce sont les textes dont la longueur les placent quelque part entre la nouvelle et le roman. Si cette longueur est assez exploitée dans le monde anglophone, l’édition français y est beaucoup plus réfractaire, quoi que les romans d’Amélie Nothomb ont souvent des volumes de texte équivalent à une novella plutôt qu’un véritable roman (la plupart des prix anglophones placent la limite supérieure d’une novella à quarante mille mots). Bref, j’ai récemment lu la novella Ch3val de Troi3, d’Eric Nieudan.

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L’entité 0247, de Patrick Lee

Entre deux lectures un peu exigeantes, il est bon de s’offrir une pause avec quelque chose de plus léger et d’entraînant. C’est l’objectif que je visais en m’attaquant à L’entité 0247, premier roman de l’américain Patrick Lee et début d’une trilogie. Voyons un peu si le but est atteint.

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Le baron noir, d’Olivier Gechter

Le steampunk est un courant qui propose quelques idées séduisantes, pourtant, lorsque je fais le tour des livres que j’ai lu je constate que la liste des ouvrages appartenant à ce genre est très courte. Aussi, lorsque Lelf m’a vivement conseillé de lire Le Baron Noir d’Olivier Gecher, je me suis pour une fois plié à ses recommandations.

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L’équation de la vie, de Simon Morden

Depuis quelques temps, je vois arriver sous le label Eclipse des éditions Panini quelques livres qui piquent ma curiosité. L’un des derniers en date est L’équation de la vie, premier volume d’une série nommée Métrozone, et dû au britannique Simon Morden. L’ouvrage n’étant pas très imposant, et la couverture assez attrayante, je me suis rapidement penché sur ce bouquin.

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Le gouffre de l’absolution, d’Alastair Reynolds

Dernier volume publié en français du cycle des Inhibiteurs, mais pas le dernier écrit par l’auteur puisqu’il existe une préquelle en anglais, Le gouffre de l’absolution apporte un semblant de conclusion à la première série d’Alastair Reynolds. Voyons un peu si cela valait la peine de s’enfiler les quelques milliers de pages que pèse l’ensemble.

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2087, de David Bry

Lisant essentiellement de la science-fiction d’origine anglophone, les récits post-apocalyptiques auxquels j’ai droit se passent majoritairement aux Etats-Unis. Le dernier roman de David Bry, nommé 2087, fut donc l’occasion de voir à quoi peut ressembler le même genre d’avenir dans un cadre qui m’est nettement plus familier que Manhattan ou Los Angeles : Paris.

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Le choix du courage, de Tanya Huff

Après avoir démarré les aventures d’Honor Harrington sous la plume de David Weber ainsi que la série de la Flotte perdue de Jack Campbell, je poursuis mon exploration du space-opera militaire. Cette fois je vais m’intéresser à la série de la Confédération de Tanya Huff, plus connue par chez nous pour sa série Vicki Nelson (les lecteurs de cette série constateront tout de suite avec la couverture que l’on n’est pas dans le même domaine). Pourtant la canadienne s’est aussi exercée dans les terrains de la SF à gros bras. Voyons donc ce Choix du courage.

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Au champ du déshonneur, de David Weber

Après trois volumes surtout rythmés par l’action spatiale, la série Honor Harrington de David Weber fait une pause. Au champ du déshonneur, quatrième tome de la série de space opera, se concentre sur les conséquences du précédent volume, Une guerre victorieuse et brève.

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