Bone Silence, d’Alastair Reynolds

Après deux volumes que j’ai bien apprécié, la série Revenger arrive à sa conclusion avec le troisième épisode intitulé Bone Silence. Alors, est-ce qu’Alastair Reynolds apporte enfin la réponse à certaines des questions que l’on se pose depuis le début ?

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Les temps ultramodernes, de Laurent Genefort

J’aime assez bien ce que produit Laurent Genefort. C’est donc un plaisir de le voir arriver dans la collection Albin Michel Imaginaire, d’autant plus qu’il s’agit d’un projet un peu différent de la plupart de ses romans. On ne se trouve pas dans son univers de space-opera mais dans une proposition alternative, inspirée par une création d’H. G. Wells : la cavorite.

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Sœur sainte, de Mark Lawrence

Quand on tente un nouvel auteur, on finit quelques années après par réaliser qu’on en a lu pas mal. Ainsi en-t-il de Mark Lawrence dont j’ai lu Holy Sister (Sœur Sainte en VF), dernier volume de sa trilogie Book of the Ancestor (Le livre des anciens en VF). Ayant déjà lu deux trilogies du même auteur, j’en suis donc rendu au neuvième ouvrage de sa plume.

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Abrégé de cavorologie, par Hippolyte Corégone

Les auteurices produisent parfois des textes courts dans lesquels on retrouve un univers déjà développé dans un roman, sans pour autant former une série. C’est ainsi le cas avec cet Abrégé de cavorologie qui est gratuitement disponible en numérique alors que sort le nouveau roman de Laurent Genefort : Les temps ultramordernes.

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Bridging Infinity, dirigée par Jonathan Strahan

Petit à petit, je continue à avancer dans la série d’anthologies Infinity, dirigée par Jonathan Strahan. Après Meeting Infinity et une petite pause par une autre antho de Strahan, Life on Mars, me voici arrivé au cinquième volume, intitulé Bridging Infinity.

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Les veilleurs du feu, de Connie Willis

Si je l’ai peu évoquée jusqu’ici sur ce blog, j’aime beaucoup ce qu’écrit Connie Willis. Mais j’avais pour l’instant lu essentiellement des textes longs de sa plume, comme Remake, Passage, Le grand livre ou Sans parler du chien. Or l’autrice a aussi produit pas mal de textes courts dont certains ont été repris en recueil. J’ai donc exhumé de ma bibliothèque Les veilleurs de feu qui y trainait depuis un bon moment.

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Les chroniques de Méduse, de Stephen Baxter & Alastair Reynolds

Si l’on regarde les auteurs dont je parle le plus fréquemment sur ce blog, on devrait voir passer les noms de Stephen Baxter et Alastair Reynolds, deux des grands noms de la science-fiction britannique. Aussi, lorsque j’ai vu qu’ils devaient écrire un ouvrage en collaboration, je n’ai pas hésité à en faire l’acquisition. D’autant plus que The Medusa Chronicles (Les chroniques de Méduse en VF) s’annonçait comme poursuivant la voie tracée par une nouvelle d’Arthur C. Clarke, autre auteur que j’ai beaucoup apprécié. Puis le roman a patienté tranquillement dans ma bibliothèque, jusqu’à ce que je me décide à m’en occuper. Continuer la lecture de « Les chroniques de Méduse, de Stephen Baxter & Alastair Reynolds »

Anatèm, de Neal Stephenson

Il y a les livres que je lis très rapidement après les avoir acquis et à l’opposé ceux qui patientent une décennie, voire plus, dans mes rayonnages avant que je ne m’en occupe. Et même chez des auteurs que j’apprécie beaucoup, comme Neal Stephenson, ça peut être le cas. Après treize ans à le voir prendre la poussière, je me suis décidé à me lancer dans Anathem (Anatèm en VF).

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Mémoire de métal, d’Alastair Reynolds

Le britannique Alastair Reynolds est surtout connu chez nous pour ses épais romans de SF. Pourtant, c’est aussi un auteur qui travaille beaucoup sur des formes plus courtes. Mais en dehors d’une poignée de nouvelles parues dans des revues ou anthologies et des novellas Diamond Dogs et Turquoise Days (dont je reparlerai peut-être un jour), on ne trouve rien en français. Arrive alors l’occasion : m’étant inscrit à la Worldcon de 2016 pour pouvoir voter aux prix Hugo, je repère dans les textes nommés une novella de Reynolds. Je me suis donc lancé dans Slow Bullets. Les aléas d’écriture puis de publication de mes chroniques faisant, celle-ci finit par sortir à un moment où l’ouvrage est finalement publié en français, sous le titre Mémoire de métal.

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