La fantasy fourmille de poncifs vis à vis desquels il y a plusieurs attitudes pour les dépasser. On peut simplement les contourner et prendre d’autres voies, surprendre le lecteur en sortant des sentiers battus. C’est un peu l’approche que l’on trouve dans la série du Trône de Fer, de George R. R. Martin. Une autre solution consiste au contraire à attaquer le cliché en pleine face, à foncer à travers et le magnifier en allant au-delà. C’est la voie suivie par Brandon Sanderson dans sa belle trilogie Fils-des-Brumes. Enfin il est possible de louvoyer autour des clichés en jouant sur la langue, comme le fait Patrick Rothfuss sur le Nom du Vent. C’est cette dernière approche qu’a choisi l’américain Ken Scholes pour sa série Les psaumes d’Isaak, dont le premier volume s’intitule Lamentation.
La puissance de Carthage, de Mary Gentle
Les séries c’est bien de les commencer, mais c’est surtout mieux de les continuer. Ainsi je me suis penché sur le deuxième volume du livre de Cendres de Mary Gentle, intitulé La puissance de Carthage. Le premier volume m’ayant fait bonne impression, c’est avec plaisir que je me suis plongé dans la lecture du suivant.
Le puits de l’ascension, de Brandon Sanderson
Il y a peu je vous parlais de L’empire ultime, premier volume de la trilogie Fils-des-Brûmes du sympathique Brandon Sanderson, surtout célèbre pour la reprise de la Roue du Temps de feu Robert Jordan. Ce bouquin m’avait fait une très bonne impression c’est pourquoi je n’ai guère tarder à m’attaquer au suivant : Le puits de l’ascension.
Interview : Xavier Mauméjean
Aujourd’hui est une grande première pour l’Affaire Herbefol : la toute première interview publiée. J’espère que ce n’est que la première et que d’autres pourront suivre dans les mois à venir. Et pour ouvrir le bal j’ai fait appel à l’auteur d’un roman que j’ai lu et chroniqué dernièrement et qui s’impose pour moi comme l’un des meilleurs ouvrages de 2010 : Xavier Mauméjean et son superbe Rosée de feu.
GiG, de James Lovegrove
La plupart des livres se résument principalement aux textes, le reste étant finalement assez accessoire. Mais il arrive que le livre soit un véritable objet dont le texte n’est que l’une des facettes, un objet qui vaut aussi par lui-même. La double novella GiG du britannique James Lovegrove en est un bon exemple et nous en devons l’arrivée en France à un éditeur small-press, Griffes d’encre.
Eglise électrique, de Jeff Somers
La science-fiction peut être une littérature d’idée mais elle peut aussi être une littérature d’action. Eglise électrique de l’américain Jeff Somers est clairement plus dans la deuxième catégorie. Ce roman est le premier de ceux mettant en scène le personnage d’Avery Cates, narrateur de ses propres aventures.
L’écorcheur, de Neal Asher
Le britannique Neal Asher a développé un univers de SF, dit univers du Polity, qui compte à l’heure actuelle plus d’une dizaine de romans, soit la quasi-totalité de ses textes longs. L’écorcheur fut le premier édité en France et si la série ne semblait pas voir la suite arriver c’est maintenant chose faite avec le débarquement dans nos librairies de Drone.
L’empire ultime, de Brandon Sanderson
Il y a quelques mois je vous parlais du premier roman de Brandon Sanderson, Elantris, qui se trouvait aussi être l’un des premiers livres édités par le label Orbit. Aujourd’hui je reviens sur Sanderson pour le premier volume de sa trilogie Fils-des-Brumes : L’empire ultime, et cette fois on passe aux choses sérieuses.
Rosée de feu, de Xavier Mauméjean
En cette rentrée 2010 les éditions Le Bélial nous propose une petite bizarrerie qui a pour nom Rosée de feu et que l’on doit à la plume de Xavier Mauméjean.
La mort dans l’âme, de Mike Carey
Le premier volume des aventures de Félix Castor (en fait le deuxième mais le premier traduit en français) m’ayant laissé une bonne impression c’est avec joie que je me suis occupé de l’opus suivant intitulé La mort dans l’âme, toujours sous la plume de Mike Carey.