Il y a tellement de séries de livres que je n’ai pas encore fini que je suis parfois un peu hésitant à en démarrer une nouvelle. Évidemment, lorsqu’il s’agit d’une nouvelle série d’un auteur fétiche, l’hésitation n’est pas longue. Pour les autres auteurs, c’est déjà moins évident, en particulier pour ceux que je ne connais pas du tout. Il faut alors un ou plusieurs bons arguments pour que je me décide à m’y lancer. La série La guerre du Lotus de Jay Kristoff a donc dû aligner quelques bons appâts pour que je décide de la commencer. Voyons ce que raconte son premier volume, Stormdancer.