Il y a de nombreuses années, j’ai croisé la plume de Paul McAuley au hasard de l’anthologie Faux Rêveur. Sa nouvelle L’histoire en marche m’avait laissé une impression mitigée, étant un texte qui s’inscrivait dans un ensemble plus large et dont le cadre ne m’apparaissait pas clair. La guerre tranquille, roman qui se passe dans la même trame historique, me permet d’explorer un peu plus largement la création de McAuley.