Acadie, de Dave Hutchinson

Ayant rentré un stock de novella de la collection Une heure lumière, c’est l’occasion de tomber sur des auteurs que je n’avais jamais lu, voire dont je n’avais jamais entendu parler. C’est justement le cas de Dave Hutchinson qui pour moi est un illustre inconnu.

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Le dernier des aînés, d’Adrian Tchaikovsky

Adrian Tchaikovsky est probablement l’un des auteurs britanniques d’imaginaire les plus productifs de ces vingt dernières années. Mais il est assez peu traduit en français, par rapport à tout ce qu’il publie de l’autre côté de la Manche. J’ai parlé ici de son premier roman traduit chez nous, Dans la toile du temps, que j’avais beaucoup apprécié. Voyons un peu ce que ça donne sur une forme, relativement, plus courte.

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A dos de crocodile, de Greg Egan

J’ai assez peu parlé ici de Greg Egan, mais il en a tout de même été question pour sa novella Cérès et Vesta, publiée dans la collection Une Heure-Lumière des éditions du Bélial. La même collection a récidivé par la suite avec une autre novella.

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What Abigail did that Summer, de Ben Aaronovitch

L’univers des Rivers of London (Le dernier apprenti sorcier en VF) ne se limite pas aux romans centrés sur Peter Grant. On trouve aussi toute une série de comics et plusieurs novellas. Si Peter était encore narrateur de la première, ce n’était plus le cas pour la deuxième puisqu’on partait en Allemagne. Pour cette troisième novella, on reste à Londres mais on voit maintenant les choses avec le point de vue d’Abigail, la cousine de Peter.

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Le démon de Maître Prosper, de K. J. Parker

J’ai déjà abondement parlé ici de K. J. Parker et c’est donc une grande joie pour moi de voir un éditeur français s’intéresser à nouveau à l’auteur, après plus d’une décennie sans nouveauté dans la langue de Molière. C’est avec une novella que ce retour se fait, ce qui j’espère facilitera la prise de contact pour les lecteurices qui voudraient s’y intéresser.

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La millième nuit, d’Alastair Reynolds

J’ai déjà eu l’occasion de parler ici de quelques novellas d’Alastair Reynolds, que ce soit celles dans l’univers des Inhibiteurs ou bien Mémoire de métal. L’auteur ayant fini par avoir les honneurs de la collection Une heure-lumière, j’ai décidé de m’intéresser à ce texte, qui se passe dans le même univers que House of Suns.

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Diamond Dogs, Turquoise Days d’Alastair Reynolds

J’ai pas mal parlé sur ce blog d’Alastair Reynolds et notamment de son cycle des Inhibiteurs. Principalement des nombreux romans qui ont cet univers pour cadre, mais j’ai aussi eu l’occasion de chroniqué un recueil de nouvelles spécifiques. Voici maintenant venu le temps de parler de textes de taille intermédiaire : les novellas. Et plus particulièrement de deux d’entre elles qui ont eu l’honneur d’une traduction conjointe en français.

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La quête onirique de Vellitt Boe, de Kij Johnson

L’œuvre créée par Lovecraft a inspiré beaucoup de continuateurs, avec une production assez volumineuse et une qualité très variable. Et Kij Johnson, dont j’ai beaucoup apprécié son Un pont sur la brume, s’est prêtée à l’exercice avec la novella La quête onirique de Vellitt Boe.

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Mémoire de métal, d’Alastair Reynolds

Le britannique Alastair Reynolds est surtout connu chez nous pour ses épais romans de SF. Pourtant, c’est aussi un auteur qui travaille beaucoup sur des formes plus courtes. Mais en dehors d’une poignée de nouvelles parues dans des revues ou anthologies et des novellas Diamond Dogs et Turquoise Days (dont je reparlerai peut-être un jour), on ne trouve rien en français. Arrive alors l’occasion : m’étant inscrit à la Worldcon de 2016 pour pouvoir voter aux prix Hugo, je repère dans les textes nommés une novella de Reynolds. Je me suis donc lancé dans Slow Bullets. Les aléas d’écriture puis de publication de mes chroniques faisant, celle-ci finit par sortir à un moment où l’ouvrage est finalement publié en français, sous le titre Mémoire de métal.

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