Un des effets récurrents quand l’un.e des auteurices que je lis disparait, c’est que j’ai tendance à attendre avant de me décider à lire le « dernier » de ses ouvrages, parce qu’après je n’en aurai plus d’autres de nouveau. C’est comme ça que j’ai laissé traîner La Sonate Hydrogène de Iain M. Banks pendant des années avant de me décider à le lire. C’est le même soucis avec Pratchett : il me reste quelques ouvrages dans le Disque-Monde et c’est un peu difficile de me résoudre à les lire. J’ai quand même réussi cette année à avancer un peu en m’occupant de Déraillé.